Les tunnels de Cu Chi
Nous sommes allés passer une journée à Cu Chi, visiter les tunnels vietcongs. Nous : Ben, mes partenaires stagiaires francais du labo et moi. Ces tunnels ont été construits par les vietminh pour se cacher des Français. Pendant la guerre du Vietnam contre les américains, ils ont été améliorés, agrandis pour y vivre et combattre. Des tresors d’ingéniosité en cachettes, pieges, tortures, mais aussi pour y vivre, cuisiner, manger, soigner, dormir, fuir…
Nous sommes partis à l’aurore pour éviter l’affluence des touristes et la chaleur. Je crois que c’était une très bonne idée. La visite commence par une petite balade dans la forêt où il fait un peu plus frais ou plutôt moins chaud…
On teste un bunker, c’est dommage il n’y a pas de photo de la trappe par laquelle on rentre, sincerement, je ne pensais pas que je pouvais passer la dedans, et le plus drôle c’est que avant que le guide nous la montre, j’étais debout dessus et je n’avais rien remarqué !
Ils ont aussi un système de cachette des aérations qui ressemle à des fourmilières ou des grosses pierres !
Voici la photo de toute la clique (aujourd’hui il y a deux stagiaires de plus, nous sommes donc 7 stagiaires francais au labo) à la tabl du QG. Je fais donc toutes les photos de toursites qu’on trouve dans les agences de voyage !
On continue dans les méandres des galeries, ca devient de plus en plus petit. A ce qu’il parait ca a été agrandi pour les occidentaux, concretement, sinon, on ne passait pas ou on restait bloqués(on comprend les pb des américains…)
On croise de gentilles petites chauve souris. On mange du manioc à la sortie pour faire vraiment comme eux !!!
La visite se termine par les pieges, en bambou acéré, car c’est plus rapide à faire et moins cher que le fer.
Une grande aventure aussi a été de prendre les bus de ville, bondés, trop chauds, avec des chauffeurs tarés, qui vont trop lentement pour se remplir et trop vite qd ils sont bondés…. Mais c’est vraiment pas cher !!!! (4000dongs, je vous laisse faire la conversion) Mais heureusement aussi qu’on n’allait que du terminus au terminus, sinon on n’était incapable de dire où on voulait s’arreter en vietnamien !
Avec Ben, on a qd même fini le voyage retour en taxi, c’est plus reposant, rapide et frais J.